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Combien coûte un appareil dentaire ?

La santé dentaire est primordiale, et ce, dès le plus jeune âge. Malheureusement, certains soins spécifiques peuvent rebuter les patients, car ils coûtent cher… à tel point que sept Belges sur dix repoussent leur visite chez le dentiste pour des raisons financières. Le cas des appareils dentaires est particulièrement représentatif de ce constat alarmant. Heureusement, des aides existent pour pouvoir bénéficier d’un remboursement partiel. On vous explique comment affronter la pose d’un appareil dentaire avec plus de sérénité.

 

Combien coûte un appareil dentaire ?

En 2017, on estimait déjà que 55 % des adolescents belges avaient entamé ou terminé un traitement orthodontique[1], soit plus d’un ado sur deux. Un chiffre en évolution constante encore aujourd’hui. Car malgré leur coût important, ces traitements peuvent, au-delà de l’aspect esthétique, prévenir ou guérir bon nombre de soucis qui ne semblent, de prime abord, pas directement liés aux dents. Problèmes de prononciation, de déglutition, de mastication et donc de digestion, bref, porter un appareil dentaire est aujourd’hui une solution particulièrement adaptée pour beaucoup de jeunes.

Mais quand les parents se rendent aux premiers rendez-vous, c’est la douche froide : entre les listes d’attente interminables chez les orthodontistes et le prix des traitements, il y a de quoi baisser les bras. Le prix moyen d’un appareil dentaire se chiffre entre 500 et 1.500 € par semestre et les traitements sont souvent très longs, entre 9 et 24 mois, ce qui vous laisse imaginer la facture finale…

Ces tarifs sont fixés en fonction des honoraires de l’orthodontiste, auxquels s’ajoutent les frais de l’appareil choisi. Le tout multiplié par la durée du traitement qui, dans certains cas, peut encore s’allonger en cours de route.

Et pour couronner le tout, les frais liés aux appareils dentaires sont peu couverts par la sécurité sociale. Pour un traitement long qui s’étale sur plus de deux ans, le remboursement maximum s’élève à 800 € quand votre facture peut, elle, monter jusqu’à 4.000 €. Pour bénéficier de ce remboursement compris dans l’assurance maladie obligatoire, il faudra évidemment que le traitement de votre enfant remplisse certaines conditions strictes.

 

Faire face aux frais d’un appareil dentaire

Parmi ces conditions, il faudra que votre enfant ait moins de 15 ans au moment du début de son traitement. Car passé cet âge, malheureusement, la sécurité sociale ne vous aidera plus du tout au niveau des frais d’orthodontie.

La seule solution pour vous aider à faire face aux frais liés à l’appareil dentaire de votre enfant sera alors de vous tourner vers des assurances complémentaires soins dentaires spécifiques. En fonction de votre choix d’assurance, elle pourra rembourser un certain pourcentage des frais orthodontiques restant à votre charge.

Bon à savoir : le fonctionnement des assurances soins dentaires est toujours le même, peu importe votre choix. Elles appliquent des plafonds annuels de remboursement qui sont limités les premières années, ainsi que des maxima spécifiques de remboursement des prestations orthodontiques. Enfin, les remboursements sont généralement soumis à l’approbation préalable de votre assurance soins dentaires du plan de traitement et de son coût. Veillez donc à être en ordre d’assurance avant de planifier la première visite orthodontique de votre enfant.

 

Nos formules d’assurances soins dentaires DKV

Pourquoi souscrire une assurance soins dentaires complémentaire ?

Parce qu’en Belgique, la sécurité sociale ne rembourse que 51,7% des frais de soins dentaires et qu’on estime alors à 848 millions d’euros le montant total des soins dentaires devant être financé avec des moyens privés.[2] Une somme colossale qui peut être largement diminuée grâce à une bonne assurance soins dentaires complémentaires qui couvrira alors tout ce qui sort du cadre strict de la visite de contrôle chez votre dentiste. Bridges, couronnes, implants, prothèses, appareils dentaires… Autant de soins qui coûtent très cher mais deviennent abordables grâce à DKV !

Savoir ce que couvre votre assurance maladie obligatoire ainsi que les diverses assurances complémentaires disponibles est primordial pour éviter de mauvaises surprises au moment de recevoir votre facture. C’est d’autant plus vrai en matière de soins dentaires, car ils sont généralement tous très coûteux.

On constate aujourd’hui que trois Belges sur dix ne savent pas ce que couvre exactement une assurance soins dentaires[3]. Pourtant, selon les cas, elle peut s’avérer extrêmement utile et vous permettre d’aborder la pose d’un appareil dentaire chez votre enfant avec beaucoup moins d’appréhension.

Chez DKV, nous avons mis en place deux formules d’assurances soins dentaires qui vous proposent un remboursement partiel de vos frais liés à la pose d’un appareil dentaire chez votre enfant (de 9 à 21 ans). 

Cette assurance complémentaire vous offre un remboursement de 70 % de vos frais d’orthodontie. Pour un traitement orthodontique, il y a une intervention maximale de €1.500 par assuré pour toute la durée du contrat.

Cette solution vous offre, quant à elle, un remboursement de 80% de vos frais d’orthodontie. Il est plafonné à 2.000 € sur la durée du contrat à partir de votre quatrième année de souscription.

 

De quoi faire baisser de manière significative votre facture finale pour la pose d’un appareil dentaire.

Découvrez nos différentes formules d’assurances soins dentaires, depuis la couverture des soins de base jusqu’à la formule de remboursement la plus étendue. Vous hésitez entre les options ? Répondez à quelques questions et nous vous recommanderons l’assurance soins dentaires la plus adaptée à vos besoins.

 

Principales exclusions : affections connues au moment de la souscription du contrat, traitements esthétiques, traitements orthodontiques avant 9 et après 21 ans, traitements parodontaux après 65 ans, transplantations dentaires, orthopédie chirurgicale de la mâchoire, médicaments, traitements dentaires résultant de certains comportements de l’assuré (voir IPID).

Restrictions : un seul plan de traitement par assuré, autorisation préalable du traitement par le médecin-conseil de l’assurance obligatoire soins de santé et indemnités et à l'indemnisation par l’assurance obligatoire soins de santé et indemnités (“ la mutuelle ”).

 

Il s'agit ici de publicité au sens de l'arrêté royal du 25 avril 2014 imposant certaines obligations en matière d'information lors de la commercialisation de produits financiers auprès des clients de détail.

Pour toutes informations complémentaires concernant les caractéristiques et exclusions principales de ces produits, vos droits et obligations, veuillez consulter les Conditions Générales et les Documents d’Information Produit (IPID) avant de souscrire. Ces documents sont disponibles auprès de votre intermédiaire d’assurances, sur www.dkv.be ou gratuitement auprès de DKV Belgium.

DKV Belgium S.A. | Rue de Loxum 25 | 1000 Bruxelles | www.dkv.be | Tél. : +32(0)2 287 64 11 | R.P.M. 0414858607, entreprise d’assurances de droit belge agréée sous le n°739, sous le contrôle de la Banque Nationale de Belgique, dont le siège est situé à 1000 Bruxelles, Bld de Berlaimont 14, fabricant des produits DKV : soins dentaires, frais ambulatoires, hospitalisationet perte de revenus. Ces produits sont soumis au droit belge (branche 2 ‘maladie’ et/ou branche 18 ‘assistance’). Offre via votre intermédiaire d’assurances et/ou via www.dkv.be. Contrat à vie, non résiliable par l’assureur, sauf exceptions prévues par la loi. Pour les plaintes relatives à la gestion ou à la mise en oeuvre de ces produits, veuillez vous adresser au service Quality Control de DKV Belgium S.A. par courrier à l’adresse suivante : rue de Loxum 25, 1000 Bruxelles, par mail à Qualitycontrol@dkv.be ou via le formulaire disponible sur notre site internet www.dkv.be/fr/contact/une-plainte et, en 2ème ressort, à l’Ombudsman des Assurances par courrier à l’adresse suivante : square de Meeûs 35, 1000 Bruxelles, par mail à info@ombudsman.as ou par téléphone au +32 (0) 2 547 58 71. Ce document est un support commercial au sens de l’A.R. du 25 avril 2014 imposant certaines obligations en matière d’information lors de la commercialisation de produits financiers auprès des clients de détail.