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Quand et pourquoi consulter un diététicien ?

Consulter un diététicien est parfois indispensable, mais souvent onéreux. Saviez-vous que vous pouvez diminuer le tarif à la caisse en souscrivant une assurance soins ambulatoires ? Quel que soit votre âge, pensez-y dès aujourd’hui pour faire des économies.

Vous pensez que seuls les individus en situation de surpoids ou d’obésité doivent se rendre chez le diététicien ? Détrompez-vous. Hommes, femmes, enfants, adultes ou seniors : nous avons tous intérêt à consulter régulièrement un diététicien. Tout simplement parce que notre santé découle aussi de nos choix nutritionnels et de notre comportement alimentaire. C’est d’autant plus vrai si vous souffrez d’une maladie chronique. Une raison supplémentaire de sauter le pas ? En choisissant la bonne assurance soins ambulatoires, vous pouvez vous faire rembourser vos visites chez le diététicien.

Consulter un diététicien : le bon choix à tout âge

Les études ne cessent de le démontrer : être en bonne santé nécessite d’avoir une alimentation équilibrée[1]. N’attribue-t-on pas à Hippocrate, père de la médecine, le dicton : « Que l’aliment soit ton premier médicament » ? De même, par ricochet, nombre de maladies chroniques sont influencées par notre comportement alimentaire. La plus évidente est le diabète de type 2. 

Consulter un diététicien peut donc être une démarche salutaire pour tous, enfants comme adultes. Elle coule de source en cas d’allergie ou d’intolérance alimentaire. Mais elle est également bienvenue pour optimiser ses choix nutritionnels selon sa situation, tout au long de sa vie.

Bon à savoir : on a tendance à associer le terme « régime alimentaire » à la perte de poids. Or, un nutritionniste est aussi amené à prescrire des régimes thérapeutiques. Ces derniers interviennent dans le cadre d’une prise en charge médicale. Il n’y a donc pas que l’indice de masse corporelle (IMC) qui est en jeu.

Quelques chiffres sur les Belges et leur assiette

  • En 2020, 6,6 % de la population belge avait un diagnostic de diabète connu[2].
  • Seulement un peu plus d’1 Belge sur 10 (12,7 %) consomme les quantités journalières recommandées de fruits et légumes[3].
  • En Belgique, 37,6 % des hommes affichent une surcharge pondérale[4].

 

Médecin, nutritionniste, diététicien : quelles différences ?

Il existe plusieurs types de professionnels de l’équilibre alimentaire. Tous n’ont pas le même rôle à jouer. De même, tous ne sont pas forcément reconnus.

  • Le nutritionniste (ou médecin nutritionniste). Il s’agit d’un médecin diplômé spécialisé dans l’alimentation et la santé. Il est habilité à prescrire des médicaments et des examens de santé complémentaires. C’est lui qu’il faut consulter en cas de maladie chronique ou d’allergie alimentaire.
  • Le diététicien. Ce n’est pas un médecin, mais un technicien (bac +3 en Belgique). Il intervient dans les troubles légers. À cette fin, il propose généralement des conseils diététiques personnalisés ou un rééquilibrage alimentaire.
  • Le coach en nutrition. Cette profession n’est pas définie par le cadre légal. Cela signifie qu’elle peut être exercée sans diplôme. Aussi, la prudence est de rigueur. Nous vous conseillons de vous limiter à quelques conseils alimentaires.
  • Le naturopathe. Les médecines douces font de plus en plus d’adeptes. Beaucoup sollicitent par exemple un naturopathe pour être guidés dans le choix d’une alimentation anti-inflammatoire. Une fois encore, gardez en tête que cette profession n’est pas réglementée.

Vous souhaitez consulter un professionnel de la nutrition ? En Belgique, seuls le médecin nutritionniste et le diététicien agréé sont éligibles au remboursement de l’assurance obligatoire. Pensez-y avant de prendre rendez-vous.

Dans quels cas une visite chez un diététicien est-elle conseillée ?

  • Si vous souhaitez apprendre à manger de façon saine. Avoir une alimentation équilibrée n’est pas toujours facile. Il est donc normal d’éprouver le besoin de se faire aider.
  • Si vous voulez perdre du poids. Consulter un nutritionniste est indispensable en cas de surpoids ou d’obésité. L’enfance, la grossesse et la ménopause nécessitent par ailleurs des conseils nutritionnels avisés.
  • Si vous souffrez d’un diabète de type 2. Vous devez alors vous faire suivre par un médecin expert de la nutrition pour surveiller votre régime alimentaire.
  • Si vous êtes sujet à l’insuffisance rénale chronique. Cette maladie implique un changement de mode de vie et de comportement alimentaire. Faites-vous conseiller au plus tôt.
  • Si vous développez des troubles des conduites alimentaires (TCA). Un diététicien peut aider les personnes souffrant d’anorexie, de boulimie ou d’hyperphagie.
  • Si vous soupçonnez des intolérances alimentaires. Les plus courantes sont celles liées ou gluten ou au lactose. Pour être fixé(e), faites-vous examiner par un médecin.
  • Si vous avez un terrain propice aux maladies neurodégénératives. Il est probable que votre nutritionniste vous invite à éviter plusieurs aliments par mesure de précaution.

Jouer la prévention : comment avoir une alimentation équilibrée ?

Il est tout à fait possible d’avoir une alimentation saine sans fournir trop d’efforts. Pour surveiller votre comportement alimentaire et prévenir les dérives, commencez par respecter des réflexes quotidiens très simples. Vous pouvez aussi vous aider d’une application nutritionnelle.

Attention : ces conseils alimentaires ne remplacent pas l’avis ou les consignes de votre médecin, diététicien ou nutritionniste.

  • Limitez votre consommation de sel lors des repas (moins de 5 g par jour).
  • Consommez de tout dans les proportions recommandées : légumineuses, céréales (complètes, de préférence), fruits et légumes.
  • Mangez au moins 400 g de fruits et légumes par jour (OMS[5]).
  • Préférez toujours les graisses insaturées aux graisses saturées.
  • Dans l’idéal, faites en sorte de manger moins sucré.

Important : consulter un médecin nutritionniste, c’est bien, mais ça ne fait pas tout. Votre santé repose sur un équilibre global. Aussi, pensez également à avoir une activité physique régulière. Course à pied, marche, vélo : vous avez l’embarras du choix.

Combien coûte une visite chez un diététicien ou un nutritionniste ?

En Belgique, le prix de la consultation chez un nutritionniste ou un diététicien varie d’un spécialiste à l’autre. Attention, donc, aux dépassements d’honoraires. La première consultation, assez longue, est généralement facturée jusqu’à 80 €. Les séances de suivi, quant à elles, sont en moyenne à 35 €.

Certains patients ont besoin d’un encadrement nutritionnel régulier pour préserver leur santé. C’est par exemple le cas de ceux qui souffrent d’une maladie chronique. La récurrence des consultations représente par conséquent un investissement financier certain, mais incontournable.

Heureusement, des solutions de remboursement existent pour alléger le prix des visites.

Quelle prise en charge attendre de la part de l’assurance obligatoire ?

Si vous consultez un nutritionniste ou un diététicien, vous pouvez potentiellement vous faire rembourser par l’INAMI. Tout dépend de votre situation. Les grilles de prise en charge prennent notamment en compte les trajets de soin, l’âge du patient, son IMC ou son régime préférentiel.

Par exemple, si vous souffrez d’insuffisance rénale chronique[6], vous avez droit à la prise en charge de 2 à 4 séances d’une durée maximale de 30 minutes. Les visites et conseils nutritionnels qui sortent de ce cadre sont à payer de votre poche.

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DKV, votre partenaire santé

Notre mission est de vous offrir des solutions d’assurance qui vous protègent et vous apportent la sérénité, vous permettent de profiter pleinement de la vie. C’est le sens que nous donnons à la prévention : prendre soin de vous, c’est préserver votre capital santé, le plus longtemps possible et dans les meilleures conditions. Quels que soient vos besoins, il existe une formule DKV faite pour vous.

 

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[1] https://www.inserm.fr/dossier/nutrition-et-sante/

[2] https://www.belgiqueenbonnesante.be/fr/etat-de-sante/maladies-non-trans…

[3] https://www.belgiqueenbonnesante.be/fr/etat-de-sante/determinants-de-sa….

[4] https://educationsante.be/lenquete-de-consommation-alimentaire-en-belgi…

[5] https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/healthy-diet#:~:tex…).

[6] http://www.zorgtraject.be/FR/Professionnels/Dieteticien/default.aspx